Manger du poisson gras comme un ours ou un homme du paléolithique

Que mangeaient nos ancêtres du paléolithique ?

Le régime paleo s’inspire de ce que nous savons de l’alimentation humaine avant les révolutions agricoles, quand l’homme était un chasseur-cueilleur.

Les deux principales différences résident dans les quantités de sucre disponibles à l’époque, quasi nul à part quelques fruits et le miel des abeilles, et dans les céréales comme le blé qui n’étaient pas encore cultivées et mangées . Ces deux différences sont fondamentales puisque ces deux types de produits (sucres, céréales) sont aujourd’hui les responsables majeurs du surpoids et de l’obésité dans le monde occidental.

Ce régime est souvent associé au fait de manger de la viande en quantité, mais la viande ne devait pas être le repas quotidien de nos ancêtres, ni même le poisson. Le végétal oui ! La viande parfois !

Le sucre était sûrement absent de l’alimentation quotidienne et les maladies contemporaines (cancers, diabetes, obésité…) n’existaient pas.

Aujourd’hui manger paléo c’est s’inspirer de ce qui était jadis l’alimentation, et l’adapter à l’abondance actuelle.

Manger beaucoup de végétal : légumes de saison, fruits locaux, baies.

Manger de la viande et des poissons sauvages.

Eviter les produits tranformés, industriels, composés de plus de 4 ingrédients notamment dont le nom est illisible pour le commun des mortels.

Le poisson gras sauvage doit être un aliment d’une alimentation type paleo.

Le gras doit faire partie intégrante d’un régime paléo, le corps se nourrit de gras et pas de sucre, le sucre doit être éliminé au maximum.

Le saumon sauvage par exemple est un vrai aliment paleo. Bien sûr dans une logique de survie ces produits frais ne sont pas forcément à disposition, mais ils font partie des aliments à conserver dans son garde manger.

Produire ses propres légumes et végétaux est aussi une bonne solution dans une logique paléo, santé, autonomie survie. Pour ce qui est des poissons il est possible aussi de les élever au jardin en aquaponie. Toujours dans une logique paléo, toujours dans une logique d’autonomie alimentaire.